Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Les deux à la neige (pas toujours)
Derniers commentaires
1 juin 2007

Dernières découvertes

On est presque partis mais on n’est pas au bout de nos surprises. Tant de choses à découvrir encore et si peu de temps. Snif. Enfin, ça dépend de la nature des découvertes.

L’autre soir, il m’est venu une envie de chips + télévision. Vous le savez pourtant, ou peut-être que vous ne le savez pas, je ne suis pas fanatique de ce genre de combo. C’était vraiment la zin de l’année. Phiphi n’écoutant que sa Phiphine s’en va au magasin et me rapporte un tube de croustilles. (Croustille, ça veut dire chips en québécois.) Car en matière de chips, je n’aime que les faux chips qui ne goûtent pas vraiment le chips, vous savez ces recomposés de patate qui se présentent dans un tube en carton. Bref.

Rhââ, des chips ! Joie ! J’ouvre le paquet, déjà toute à la fête et… déception.

"Beeeek, regarde Phiphi, c’est tout moisi ! Les chips sont tout bleus ! Ou ils les ont fait avec des patates trop vertes, c’est dégueulasse." J’étais triste parce que j’en avais vraiment envie de ces chips. Il allait falloir que je mange un truc sain à la place. Chouette.

Phiphi solidairement affecté par ma déception (ou bien il craignait de devoir retourner au magasin) plonge alors un œil dans le tube, dont il sort le premier chips pour inspection. (Notez que Phiphi dit "la" chips comme il dit "la" thermos avec un beau "s" sonore à la fin.) Et là il s’aperçoit que non c’est pas tout pourri mais que les blagues Carambar ont fait des émules outre-atlantique.

O Amérique pays de l’entertainment agro-alimentaire ; ô Canada, patrie du hockey : sur chaque chips était imprimée au colorant bleu une question, un vrai ou faux au sujet du hockey (sur glace). Avec, pour respecter les lois linguistiques, en alternance un chips en anglais et un chips en français. Cela dit, en anglais ou en français, je n’en ai compris aucun, de chips. Encore heureux, il ne fallait pas répondre juste pour avoir le droit de les manger. Suis pas vite dégoûtée, quand même. Et je n’ai pas été malade.

20070525_0072
"Vrai ou faux Une pénalité qui n'est PAS possible est un tir de pénalité" (Si je lis bien. L'impression est de piètre qualité, la photo aussi.)
Ce à quoi il fallait bien sûr répondre "Faux".

Enfin, tout cela ne vaut pas une bonne blague Carambar.

Au rayon des curiosités culturelles, nous avons aussi trouvé cette expression, que nous vous livrons hors contexte:

Douillettes

Mais que sont-ce donc que ces « grosses machines pour douillettes » ?
On vous laisse l’imaginer et on attend vos propositions !

Publicité
Commentaires
C
Je peux? Chouette alors! Merci Mme Phine!<br /> Bon... Allons-y...<br /> <br /> Mais pas du tout, Jacques! (ça va quand-même être nettement moins crédible, maintenant!)<br /> Les grosses machines à douillettes tirent leur nom de leur inventeur, Jean-Maurice Douillettes (Montréal 1938 - Manage 2005, quelle coïncidence!)<br /> <br /> Jean-Maurice Douillettes est le créateur pas malin-malin d'un tas d'objets tombés aujourd'hui dans l'oubli parce que peu pratiques : en effet, J-MD étant un peu bigleux, il avait tendance à construire tout en fort grand, "parce que c'est plus facile pour les soudures".<br /> C'est à lui que l'on doit, je cite au hasard, (le tout est à chaque fois à peu près de la taille d'une Citroën Berlingo) la machine à dépiauter les castors, la machine à étaler uniformément le sirop d'érable sur les pancakes, la machine à sculpter les cure-dents en forme de frite (??), etc.<br /> Oui. En plus d'être de taille impressionnante, ses inventions n'étaient pas non plus méga utiles.<br /> Et comme, pour couronner le tout, il leur donnait des noms fort compliqués que personne ne retenait, on les rassembla rapidement sous le nom générique de "grosses machines à Douillettes", et c'était pas spécialement un compliment.<br /> <br /> Bref, las d'être incompris par ses compatriotes, il s'exila en Europe, à Manage (Belgique, Hainaut) plus exactement, ou il coula des jours heureux jusqu'à sa mort, en compagnie de Sabrina Samouraï, l'inventatrice de la sauce à frites du même nom.<br /> <br /> Les inventions de Jean-Maurice Douillettes sont aujourd'hui tombées dans l'oubli mais l'expression est restée : les "grosses machines à Douillettes" désignent aujourd'hui les fonds de brocante dont personne ne veut et que le brocanteur est obligé de toujours ramener chez lui et c'est pénible parce que ça prend de la place.<br /> Sinon, Sabrina Samouraï parle elle aussi encore souvent avec émotion des "grosses machines à Douillettes", mais elle, elle parle d'autre choses (pardon).
P
Vous savez Caro L., ici la grammaire est un vain mot. "A douillettes" et "pour douillettes", c'est un peu la même chose de même. C'est comme la soeur à Jacques qui va au dentiste et puis qui se rend chez/à/au Cora. N'hésitez donc pas à proposer votre définition.
C
Et "je connaît" avec un "t", c'est pas la honte peut-être?
C
Mais pas du tout, Jacques!<br /> Moi je connaît la vraie définition véritable parce que j'ai un dictionnaire québecois-euh. Mais je vous le dirai pas-euh.<br /> <br /> (C'est surtout que j'avais fait une super définition pour l'expression "grosses machines à douillettes", sauf que c'est pas "à", c'est "pour". Et maintenant je râle et j'ai pas envie de recommencer)
P
Une machine pour mater les chochottes récalcitrantes, hihihi, pas bête. <br /> Vous remarquerez que l'on voit apparaître les obsessions de chacun:<br /> -LeDormeur, comme son nom l'indique, c'est le dodo. Mais attention, le dodo propre, dans un lit qui sent bon le linge tout frais lavé.<br /> -Gérard, c'est la saucisse de gros pachyderme.<br /> -Marlah c'est les soins hospitaliers de sadiques.<br /> Mhmhmhm, intéressant tout cela.
Les deux à la neige (pas toujours)
Publicité
Les deux à la neige (pas toujours)
Archives
Publicité